Roman-théâtre

Voltaire : Candide, ou l’Optimisme [livraphone]

Candide, ou l’Optimisme a sans doute été rédigé en 1758 et paraît en 1759 comme « traduit de l’allemand de M. le docteur Ralph ». Mais le public, qui lui fait un succès, n’est pas dupe de cette traduction prétendue.

 

Ce conte, qui est devenu le titre le plus célèbre de Voltaire (1694-1778) et un des chefs-d’œuvre de la littérature française, a sans doute été d’abord le passe-temps d’un écrivain soucieux de léguer à la postérité des œuvres plus respectueuses du canon classique, tragédies et épopées. Cependant, la liberté de ton qui y règne ne doit pas laisser croire à une improvisation.

Candide, conte philosophique, nous fait évoluer dans un monde à la fois réel et fictif à travers un personnage nommé Candide. Dans cette oeuvre Voltaire, philosophe des Lumières, critique et dénonce différents aspects de la société. Il est pour l’abolition de l’esclavage, de l’autodafé et veut rétablir une égalité entre les hommes.

Le mot « candide » vient du latin candidus qui signifie blanc : une des interprétations possibles du nom est l’expression de l’innocence, voire la naïveté du personnage.

 


 
le rouge et le noire

 Julien Sorel est un jeune homme de bonne figure et d'agréables façons qui dissimule l'ambition qui le dévore et le pousse, pour arriver. A de redoutables excès.

 Le voici en 1848, dans une petite ville de province, précepteur dans l'honorable famille de monsieur de Rénal; il devient rapidement l'amant de madame de Rénal, charmante, sage et réservée.

 Il hésite à faire carrière dans l'état militaire voué à la couleur rouge. ou dans la cléricature vouée à la couleur noire.

 La vision enivrante des pompes épiscopales le décide à entrer au séminaire, où son orgueil se rebelle malgré son désir d'accéder aux honneurs entrevus et de voir les grands de ce monde s'incliner devant lui. Les " Tartuffes " qui peuplent le séminaire arrivent à le faire chasser.

 Julien se pousse alors dans le monde et devient le secrétaire du marquis de la Môle.

 Le marquis a une fille, Mathilde, qui devient la maîtresse de Julien; belle et fière, elle souhaite le mariage, mais l'anoblissement du jeune homme est alors obligatoire. Or Madame de Rénal, droite, inflexible, intervient et dénonce celui qu'elle a aimé comme étant un vil intrigant, jugeant qu'il n'a plus rien à perdre, Julien s'introduit dans l'église où madame de Rénal est en prières et tente de la tuer.

 Arrêté, il finit sur l'échafaud non sans avoir eu une ultime entrevue avec son seul amour, celle qu'il avait voulu assassiner.

 

 

 

 






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